12 octobre 2012
Trop las, je pousse le tas d’habits qui
Trop las, je pousse le tas d’habits qui s’effondre sur le sol, tire sur la couette, pose la tête sur mon oreiller qui sent la transpiration, et ferme les yeux après avoir activé le réveil pour demain d’un geste automatique de la main, à peine conscient.
« Bonne nuit… » je murmure. Mais je sais qu’elle ne m’a pas entendu. Elle a mis son casque pour éviter de m’embêter avec les bruits de l’ordi. Les claquements du clavier me bercent. Ils me poussent vers mes cauchemars habituels qui ne me quittent plus.
« Bonne nuit… » je murmure. Mais je sais qu’elle ne m’a pas entendu. Elle a mis son casque pour éviter de m’embêter avec les bruits de l’ordi. Les claquements du clavier me bercent. Ils me poussent vers mes cauchemars habituels qui ne me quittent plus.
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